Critique éclair : Subaseka + TWEWY
Subarashiki Kono Sekai + The World Ends with You
Composé par Takeharu Ishimoto, remixé par Takeharu Ishimoto, Hirosato Noda et Mitsuto Suzuki. Cliquez ici pour plus d'informations.
Est-ce le succès underground de The World Ends with You ou la pression de Takeharu Ishimoto, musicien invétéré, qui a commandé la réalisation de cet album ? Car il faut bien dire qu'il laisse un drôle de sentiment : celui d'un CD produit un peu rapidement et sans grands moyens, vu que les chants n'ont pas été réenregistrés. Malgré tous les efforts d'Ishimoto, toujours aussi débordant d'énergie musicale, les voix ne se marient pas toujours très bien aux arrangements, et les audaces qu'on aurait été en droit d'attendre (les chanteurs qui se laissent aller à l'occasion de refrains explosifs, par exemple) ne se produisent évidemment pas. Cela n'empêche en rien "Calling", "Someday" ou "Hybrid" de revêtir de nouvelles robes qui leur vont à merveille. Mais le rayon de soleil de cet album réside en ces quatre pistes écrites pour les versions occidentales du jeu (pistes 11, 12, 13 et 15) : sans arrangements pour les dénaturer, elles sont telles qu'Ishimoto les a faites chanter. Et on ne sait pas où donner de la tête, tant elles sont brillantes. "Transformation", interprétée par Andy Mitchell du groupe Sixpin, est sans doute la plus aboutie grâce à son refrain dément. Au final, Subarashiki Kono Sekai + The World Ends with You chancelle entre la grâce divine des nouvelles chansons et les remixes des pistes originales en mal d'audace vocale, mais quiconque a apprécié la bande originale devrait sans problème apprécier l'album arrangé. On y marche en terrain connu.
Show appréciation : bon
Composé par Takeharu Ishimoto, remixé par Takeharu Ishimoto, Hirosato Noda et Mitsuto Suzuki. Cliquez ici pour plus d'informations.
Est-ce le succès underground de The World Ends with You ou la pression de Takeharu Ishimoto, musicien invétéré, qui a commandé la réalisation de cet album ? Car il faut bien dire qu'il laisse un drôle de sentiment : celui d'un CD produit un peu rapidement et sans grands moyens, vu que les chants n'ont pas été réenregistrés. Malgré tous les efforts d'Ishimoto, toujours aussi débordant d'énergie musicale, les voix ne se marient pas toujours très bien aux arrangements, et les audaces qu'on aurait été en droit d'attendre (les chanteurs qui se laissent aller à l'occasion de refrains explosifs, par exemple) ne se produisent évidemment pas. Cela n'empêche en rien "Calling", "Someday" ou "Hybrid" de revêtir de nouvelles robes qui leur vont à merveille. Mais le rayon de soleil de cet album réside en ces quatre pistes écrites pour les versions occidentales du jeu (pistes 11, 12, 13 et 15) : sans arrangements pour les dénaturer, elles sont telles qu'Ishimoto les a faites chanter. Et on ne sait pas où donner de la tête, tant elles sont brillantes. "Transformation", interprétée par Andy Mitchell du groupe Sixpin, est sans doute la plus aboutie grâce à son refrain dément. Au final, Subarashiki Kono Sekai + The World Ends with You chancelle entre la grâce divine des nouvelles chansons et les remixes des pistes originales en mal d'audace vocale, mais quiconque a apprécié la bande originale devrait sans problème apprécier l'album arrangé. On y marche en terrain connu.
Show appréciation : bon
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